Lorsque l’on choisit de vivre en vérité, on choisit de marcher droit, même sur un chemin parfois solitaire. Mais ce chemin, pavé de sincérité et d’authenticité, mène toujours à la sérénité. Et c’est là que réside la véritable force du yoga : nous ramener à notre essence, à notre lumière, et à la joie simple d’être pleinement soi.
Lorsque nous remettons le mental à sa juste place, nous retrouvons notre véritable boussole : celle du cœur et de l’âme. Le mental peut exécuter, organiser, planifier… mais c’est notre être profond qui sait où aller. Apprenons à écouter cette voix silencieuse : elle ne crie pas, mais elle ne se trompe jamais.
Le silence n’est pas un vide à fuir, mais un espace à habiter. C’est là que se recharge notre énergie, que se clarifient nos idées, que naissent les intuitions.
N’est-ce pas cela, le chemin du yoga ?
Une reconnaissance de notre vraie nature, au-delà des masques et des apparences.
Nous sommes nourris par les rencontres, par les êtres lumineux.
Intégrer une pratique régulière de yoga en extérieur, même courte, transforme notre rapport au monde.
c’est dans le silence qu’on retrouve notre vraie nature.
Une posture réussie n’est pas celle qui impressionne.
C’est celle qui t’ouvre, te pacifie, te reconnecte.
Le yoga n’est pas ce que l’on montre.
C’est ce que l’on vit à l’intérieur : une rencontre avec soi, un dépouillement de l’ego, un retour vers ce qui est simple, vrai, stable.
Alors que Yama concerne notre éthique envers le monde, Niyama s’occupe de notre discipline intérieure.
L’un ne va pas sans l’autre : sans fondations éthiques (Yama), la pratique reste instable ; sans engagement intérieur (Niyama), elle reste superficielle.